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parc f.pic - Page 17

  • VANVES PAR LE PETIT BOUT DE LA LORGNETTE

    SAUVE : Bernard Ollivier président du syndicat d’initiative de Vanves et surtout président de l’UDOSTI qui regroupe l’ensemble des syndicats d’initiatuves des Hauts de Seine a sauvé du chômage la permanente qui travaillait pour cette association. Il a rencontré Isabelle Caullery, conseillére générale chargée du Tourisme, pour défendre la cause d’Agnés Courtois qui pourra continuer à travailler pour l’UDOTSI pendant l’année 2013. La commission permanente du 13 mai dernier  a régularisé la subvention oubliée, qui mettait en cause l’emploi de l’animatrice de l’Union, « qui par ailleurs fait un travail remarquable ». Une subvention de 43 000 € a été votée pour l’UDOSTI dont les bureaux devraient rejoindre les locaux du Conseil Général au Bâtiment les Reflets où s’est installé le CTD 92 (Comité du Tourisme Départemental).

     

    FOYER D’ACCUEIL : La paroisse Saint François d’Assises est l’une des premières, dans les Hauts de Seine, à avoir accueilli un foyer d’accueil dans le petit pavillon qui donne sur le jardin de l’église, dés la fin des années 80. Ainsi un jeune couple se relaire régulièrement, tous les 4 à 5 ans, pour « habiter la maison du Seigneur ». Il est nommé pour 3 ans par l’Evêque, renouvelables deux fois un an. « Généralement, les couples sentant le désir de vivre cette misson se présentent au diocése où un service les aide à discerner. Puis l’Evêque les nomme dans une paroisse bien particulière dans laquelle ils s’insérent. Sur Saint François d’Assise, cela fera plusieurs fois que le foyer d’accueil est appelé par le curé de la paroisse et propose au diocése pour un discernement adapté » expliquent Clémence et Frédéric Néouze qui passeront le relais à François-Xavier et Lucie Choutet accompagnés de leurs 3 garçons. « Il nous faudra encore du temps pour recueillir tous les fruits que cette belle mission d’Eglise aura apporté à notre famille ».

     

    ERREURS : L’exposition sur l’historique des jumelages de Vanves dans le hall de l’hôtel de ville qui se termine le 28 Mai, comporte quelques erreurs, et notamment photographique. Sur l’un des panneaux, on y voit une délégation dans le kiosque à musique du square Etienne Jarrousse, avec la date 1983. Ce qui est tout à fait impossible puisqu’il a été construit à l’occasion du réaménagement de ce square en 1992. IL parait, selon un élu, que ce n’est pas la seule ?

     

    DISPENDIEUX : Est-ce que GPSO serait dépensier. Certains participants à l’atelier sur la trame verte de Vanves, Mercredi dernier, ne sont pas loin de le penser. D’autant plus que le choix de la salle de réunion pour le réunir se dénomme « Garguanta » (dans l’ancien commissairiat de police dédié au centre de loisirs). Comme cet atelier s’est déroulé toute la journée, avec visites sur le terrain du parc F.Pic, de son rû, de la coulée verte rue J.Bleuzen le long du talus SNCF entretenu par l’association Espaces, il était prévu de déjeuner sur place. Au lieu d’aller dans un restaurant de la ville, les services de GPSO ont préféré faire venir un traiteur  pour servir le repas dans cette salle de réunion. Espérons qu’il n’était pas garguantesque.

  • AU FIL D’UN ETE 2011 A VANVES (SUITE) : LES DERNIERS JOURS DE VACANCES

    Pour cette fin de semaine et d’Août, Vanves est passé de la presque canicule le week-end dernier à ce temps orageux d’une fin Août traditionnel entrecoupé de soleil et de pluie. Heureusement point de pluie pour la célébration de la libération de Vanves alors que les magazines traitaient de l’immobilier en Ile de France et dans les Hauts de Seine

     

    UN CERTAIN 25 AOÛT 2011 A VANVES

     

    La Rentrée politique à Vanves, a été marqué par cette cérémonie au monument aux morts pour le 67éme anniversaire de la libération de Vanves qui s’est déroulé Jeudi 25 Août 2011 en présence des élus, André Santini (NC), Isabelle Debré (UMP), Bernard Gauducheau (NC), Guy Janvier (PS), Françoise Saimpert (UMP), Gérard Laubier (NC), David Mahé (UMP), Alain Toubiana (NC), Claudine Charfe (PC), des anciens combattantsn une forte délégation de la BSPP (Brigade des Sapeurs Pompiers de Paris) et surtout Jacques Landois (NC) aux commandes pour le bon déroulement des cérémonies qui a connu quelques sueurs froides. La cérémonie a été retardée d’un quart d’heure car la serrure du local des associations d’anciens combattants était bloquée, et il fallait absolument récupérer le drapeau de la FNACA.

    La cérémonie a pu démarrer et se dérouler d’une manière toute simple : levée des couleurs, dépôt de gerbes par les anciens combattants puis les élus, sonnerie aux morts, minute de silence, marseillaise, marche de la 2éme DB qui n’en finissait plus pour certains. Voilà le refrain  « Division de fer/Toujours en avant/Les gars de Leclerc/Passent en chantant//Jamais ils ne s’attardent/La victoire n’attend pas/Et chacun les regarde/Saluant chapeau bas/Division de fer/Toujours souriant/Les gars de Leclerc/Passent en chantant/DB ! Vive la deuxième DB ! ». Il est vrai que la « division Leclerc » a fait un périple extraordinaire depuis le serment de Koufra, un certain 2 Mars 1941, voilà 70 ans. « Il ont vécu des heures merveilleuses/
    Depuis Koufra, Ghadamès et Cherbourg/Pour eux Paris fut l’entrée glorieuse/Mais il voulaient la Lorraine et Strasbourg/Et tout la haut dans le beau ciel d’alsace/Faire flotter notre drapeau vainqueur/C’est le serment magnifique et tenace
    /Qu’ils avaient fait dans les heures de douleur
     ». Certains dans l’assistance, reprenaient doucement ces paroles mais que l’on entendait tout de même. Parmi les plus âgés dans l’assistance, d’autres se souvenaient de ces jours de libération, avec une petite larme à l’œil lors de la Marsaillaise, se rappelant avoir tenté de voir le Général de Gaulle, sans succés, place de l’Hôtel de Ville (de Paris).

     

    DES APPARTEMENTS A PRIX D’OR PARC F .PIC

     

    Les deux « marronniers » de la Rentrée consacré à l’immobilier (Express, Le Point) notamment en Ile de France et dans les Hauts de Seine confirment bien que les appartements les plus chers de Vanves donnent sur le parc Frédéric PiC. Les plus luxueux et les plus beaux se vendent là à prix d’or : 420 000 € pour un 3-piéces de 59 m2 en pafait état avec un balcon, 760 000 € (5300 € le m2) pour un duplex de 144 m2 avec balcon de 67 m2. Malgré quelques travaux de refraichissements. Selon l’Express. « On peut se loger à partir de 6000 € le m2 dans les meilleurs immeubles des années 20 qui bordent le parc F.Pic ou parmi les résidences qui sont proches d’Issy les Moulineaux ou de la porte de Versailles » notait Le Point qui indiquait que « le marché se grippe dans cette petite commune berdoyante limitrophe de Paris où les prix ont bondi de 10 à 15% au cours des derniers mois ». Il parait selon l’agence Parent que « les 3 pièces rénovées des années 60 sont prisée des jeunes couples parisiens, et partent de 5500 à 6000 € le m2 sur le Plateau ». L’Express ajoute que dans le Centre, avenue Martinie, un 3-pièces de 64 m2 avec double séjour et balcon s’est vendu à 355 000 €, rue Victor Hugo un 43m2 s’est vendu à 257 000 €. « Vanves profite de la dynamique insuflée par Issy les Moulineaux, même si les prix y sont un peu moins élevés ».     

  • NOEL 2009 ET DES ANNIVERSAIRES : LA TEMPETE A VANVES

    DIX ANS APRES : TOUJOURS AU MÊME POINT ?

     

     

    Rappelez-vous ce 26 Décembre 1999, c’était un dimanche, personne n’était encore réveillé que dés 6H/6H30 du matin, un vent d’une violence de 160/170 km/h occasionnait des dégâts considérables dans notre ville comme ailleurs comme dans nombreux sites de notre Région et de la France

     

    Prés d’une centaine d’arbres ont été arrachés dans le parc F.Pic, dont toute la lignée de peupliers (une quarantaine) entourant le bassin,  provoquant sa fermeture pendant plus d’un mois (jusqu’au 5 Février)  un cèdre d’une dizaine de mètre s’est même écrasé sur le toit du bâtiment principal de l’école du parc alors que la couverture de son préau était entièrement arraché, ainsi qu’un magnifique hêtre tout prés du Pavillon de la Tourelle qui l’a échappé belle, sa propriétaire, Mme Valleise à l’époque, en était malade même si elle avait échappé au pire. Quinze arbres fragilisés ont dû être abattus quelques jours aprés.  D’autres écoles avaient subies des dégâts, Marceau avec la chute d’un mur mitoyen, l’école du centre avec celle d’un plafond, Gambetta avec celle de tuiles faîtiéres.  Au PMS André Roche, Armand Dumas dit Titi qui avait ouvert les portes vers 7H restait calfeutré dans sa loge (des gardiens). Il raconte avoir vu la house stocké pour les sauts en hauteur derrière l’un des buts du terrain d’honneur s’envoler et traverser tout le terrain de foot. Mais pas les baies vitrées de la piscine municipale côté grand Bassin, et petit bassin/pateaugoire-solarium voler en éclat et provoquant sa fermeture pendant plusieurs mois. Le parc Michelet était aussi durement touché avec prés de 80 arbres abattus, 200 m2 de toitures endommagés. Les sapeurs Pompiers de la BSPP ont effectués à Vanves entre 6H30 et 9H plus de 60 interventions (130 au bout de deux jours) uniquement dans la ville… sans compter la police pour 13 toits abîmés, 190 cheminées ou antennes TV arrachées, 6 pour des arbres cassés ou tombés, des palissades effondrées  etc…

     

    Evidemment cet événement climatique a eu un effet politique. Le groupe PS n’avait pu s’empêcher de polémiquer dans le numéro de Janvier de Vanves Infos, alors que l’un des leurs était à la tête de la Mairie (Guy Janvier) : « Sans faire de polémique, on peut se demander ce qu’il serait advenu au moment d’un coup de vent durant l’ouverture du parc Pic largement fréquenté par les enfants si les arbres dangereux qui avaient été récemment abattus, ne l’avaient pas été…Gageons que ceux qui avaient voulu brocarder cet abattage nécessaire en tireront quelques enseignements ». Réactions traités de « vers politicards » par le groupe RPR présidé alors par Isabelle Debré qui constatait que « pour aggraver la situation, depuis près de 5 ans, aucun  remède n’a été apporté au problème de la pollution par le fuel de son bassin ». Et toc ! Ajoutant : « Il est plus que temps désormais d’engager un plan d’envergure volontaire pour redonner aux vanvéens la possibilité de jouir de ce qui pourrait être au cœur de notre ville un magnifique espace de promenade et de calme ouvert à tous…. Qu’attend donc la municipalité pour proposer aux élus et aux habitants un plan clair et précis de reconstruction du parc qui participerait aux bonheurs des vanvéens ?».

     

    Du coup, le maire de Vanves, Guy Janvier (PS)  provoquait plus d’un mois après la tempête, le 23 février, une réunion publique sur le réaménagement du parc  avec plusieurs groupes de travail qui n’a jamais abouti… à cause des élections municipales de 2001. Deux mois après, Guy Janvier s’exprimait sur les conséquences de ces « plaies ouvertes par la tempête »  qui « mettront du temps à cicatriser. Le bilan est lourd pour notre ville : le parc municipal et plusieurs équipements ont été frappés de plein fouet. La réparation des dégâts prendra du temps ». Et du coup, il lançait une « réflexion globale sur l’identité du parc, en tenant compte des usages qui sont fait par les riverains, les promeneurs et lors  des manifestations en plein air ». De son côté, le groupe UDF mené par Bernard Gauducheau (UDF) insistait « sur la nécessité de mettre en œuvre rapidement, avant toute exécution de travaux de replantation, une étude paysagère de haut niveau, élaborée en étroite relation avec les services de la commune, du département et de l’Etat pour rendre de façon durable aux Parcs F.Pic et Michelet, fleurons prestigieux de notre patrimoine naturel, leur total rayonnement dans la cité ». 35 arbres étaient plantés durant l’automne. Et puis 2001 est arrivé avec les élections municipales et l’alternance, reportant à plus tard un plan de reconquête dont on parle toujours, avec certes quelques réalisations (allées refaites, grilles repeintes…) et abattages d’arbres malades mais sans vraiment plan d’ensemble dont le Comité Consultatif Environnement/Développement Durable avait commencé à parler dans le courant de cette année 2009….Sans grand résultat depuis dix ans